Nos modèles de cuisine

En 2025, la cuisine se fait plus chaleureuse, plus sobre, plus pratique. Les tons profonds comme le vert foncé, le terracotta ou le bleu nuit s’imposent. Le bois, surtout le noyer, revient en force, souvent associé à la pierre ou à la céramique.

Les façades sont mates, sans poignées. On évite les meubles hauts pour laisser respirer les murs. Tout est intégré, tout disparaît : rangements, électroménager, hotte. L’îlot central devient un vrai point d’ancrage, pensé pour tout faire.

L’éclairage glisse sous les meubles, dans les rainures, à peine visible. Le style reste net, fonctionnel, mais ose des touches rétro ou artisanales. L’élégance passe par le détail, pas par la démonstration.

La finition mate apaise, absorbe la lumière, adoucit les volumes. Elle convient aux cuisines sobres, naturelles, discrètes. Le laqué renvoie la lumière, capte le regard, donne un effet plus contemporain, plus brillant, parfois plus froid. À Toulouse, avec les murs clairs et les pièces ensoleillées, le mat fonctionne partout. Le laqué demande plus d’entretien, mais agrandit visuellement les petits espaces.

On va à l’essentiel : les meubles montent jusqu’au plafond, les façades sont lisses, sans poignées. On choisit des tons clairs ou des bois chauds.

Chaque centimètre compte : tiroirs coulissants, étagères ouvertes, plans rabattables. Pas d’îlot, mais un linéaire bien pensé, un coin repas contre un mur, une lumière bien dirigée. La forme suit l’usage, pas l’inverse.

Les murs respirent la brique, les plafonds montrent les poutres. La cuisine doit rester sobre, texturée, mate. Les tons terreux — argile, lin, gris chaud — s’accordent avec la matière. Le vert sauge ou le beige grisé fonctionnent bien. On évite le blanc pur, trop dur, et les couleurs trop froides. Il faut composer avec l’existant, pas l’écraser.

Les cuisines aux lignes simples, aux matières brutes, aux tons chauds. Le bois naturel, le métal noir, la pierre, la céramique. Le style industriel doux, le contemporain épuré, ou le rustique modernisé. On joue sur le contraste : façades mates contre briques anciennes, mobilier bas contre murs chargés. L’idée : révéler la brique, pas la cacher.

Une cuisine compacte, lumineuse, bien intégrée. Le mobilier reste bas, les teintes neutres, les matières naturelles. On valorise les volumes, on ne les remplit pas. Le style reste discret, élégant, sans imitation. Le vieux parquet et les moulures donnent déjà le ton. La cuisine doit suivre, pas rivaliser. Juste trouver sa place.